Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes – Tous UNiS

Cette année pour Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes nous voulons encourager la campagne les Nations Unies ont lancée « Tous UNiS » 2020 : « Orangez le monde : financez, intervenez, prévenez, collectez ! ».

Plusieurs mouvements ont été lancés pour combattre ce problème de la société actuelle durant les dernières années. Cette violence peut se manifester physique, sexuel et même de façon psychologique. Le #moiaussi  qui a été un mouvement international. Le même principe a été reproduit au Québec le « On te croit » qui avait pris une ampleur très grande sur les réseaux sociaux. Récemment, Élizabeth Rioux, une propriétaire d’une grande entreprise internationale ainsi qu’une influenceuse sur les réseaux sociaux a dénoncé son agresseur. Les gens veulent de l’aide, ils veulent que les victimes se sortent de cette misère mais les ressources manquent comme Elizabeth Rioux a expliqué dans une entrevue télévisée. Elle a même affirmé qu’après la dénonciation elle recevait environ 40 messages privés par seconde, ce qui était impossible à gérer vu que les femmes lui demandaient conseil et qu’elle n’est pas une spécialiste dans le domaine. Durant la pandémie les cas de violence domestiques ont augmenté et les experts ont peur. Les refuges pour les victimes sont toujours à pleine capacité et la période difficile, l’hiver arrive à grand pas.

Il y a aussi des crimes que l’UCET se souvient. 30 ans passés, le 6 décembre 1989, 14 femmes ont été assassinés à l’école polytechnique de Montréal. Quelle était la raison de ce crime? Être une femme. Cet acte terroriste n’avait aucun autre motif que le sexiste.

Les femmes ont peur de dénoncer parce qu’elles sentent que les punitions ne seront pas justes face aux gestes exercés. Elles ont peur des conséquences si la personne en question finissait par le savoir et surtout du sentiment de honte qui les entourent. Les femmes ne savent pas où est la limite de quand la ligne est franchie; quand il faut se rendre à la police.

Les gens veulent croire les victimes, les gens veulent aider et les supporter, mais les ressources sont limitées. Une campagne a été mise en place pour les Nations Unies afin de faire un appel pour les gouvernements, la société civile, les organisations de femmes, les jeunes, le secteur privé et les médias à joindre leurs forces pour faire face à la pandémie mondiale de la violence à l’égard des femmes et des filles. Il y aura un mouvement de 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre. Vous pourrez prendre action entre le 25 novembre et le 10 décembre 2020. Les Nations Unies vous invitent à y participer:

Vous pouvez faire évoluer la situation et faire bouger les choses pendant cette pandémie de Covid-19 et l’état de crise prolongé qu’elle a généré partout dans le monde. Vous pouvez soutenir les femmes et les filles victimes de violence, pour qu’elles puissent vivre en toute sécurité, sans violence.

***(AVERTISSEMENT RAPIDE : LES 2 BOUTONS AU-DESSUS DE CETTE LIGNE MÈNENT À DES SOURCES EXTERNES qui ne sont pas gérées par l’ucet).***

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